Groupe 165 |
Rejoignez Amnesty International et participez aux
actions de cette organisation internationale pour la
promotion des droits humains.
|
(Le groupe réunit des membres issus de l'agglomération Melunaise, de la ville nouvelle de Sénart, et du secteur
de Lésigny, Férolles-Atilly et Combs la Ville). |
2018 :
L'actualité du groupe est remplacée, à partir du
1er janvier 2018, par celle d'A.I. France afin d'élargir le périmètre
de l'information aux actions d'Amnesty
International tant au niveau national qu'à travers le monde. Bien
entendu le groupe 165 de Melun poursuit ses
actions locales et vous pouvez le contacter en
cliquant sur "Écrire
au groupe".
Nous laissons certaines archives (2002 à 2017) pour
montrer quelques unes des actions locales
réalisées ou relayées par le groupe de Melun, en
signalant, toutefois, que les liens vers des sites
extérieurs ne sont pas mis à jour et peuvent,
donc, ne plus être opérationnels.
Cliquez ici pour les :
Actualités
internationales (cette rubrique est,
également, accessible en bas de chaque page du
site et sur le sommaire d'accueil) |
21/12/2017 - Réunion
mensuelle. La réunion mensuelle de décembre 2017 s'est
tenue - comme tous les mois - à Melun pour faire le
point sur les actions du groupe qui se poursuivent dans
le cadre des activités en faveur des droits humains. Au
nombre d'entre elles, ce mois-ci, le groupe a lancé
diverses interventions parlementaires auprès de 9
sénateurs et 3 députés de Seine et Marne. Un
représentant du groupe a été reçu par Olivier Faure,
député de la 11ème circonscription. Une information a
été diffusée au membres du groupe sur la loi "asile
émigration" en préparation pour le 1er trimestre 2018.
Il a également été rendu compte de l'audit financier
effectué sur la section 165. Le groupe reste dans
l'attente d'une réponse de l'organisatrice pour le salon
du livre des 20 et 21 janvier 2018. A signaler que 1390
signatures ont été recueillies à la médiathèque de Melun
et qu'une autre action a été conjointement menée avec
nos amis et voisins du groupe de Fontainebleau.
23/02/2017 - Réunion
mensuelle. La réunion mensuelle de février s'est
tenue à Melun a fait le point sur les actions
effectuées et celles en prévision. Une intervention sur
les droits humains s'est déroulée au Centre de détention
de Melun le 22/02. En projet la projection du film
"Bienvenue". Le salon du livre qui s'est déroulé le 29
janvier à Melun a permis au groupe local de percevoir
une somme modeste pour renflouer sa trésorerie. Pour une
meilleure visibilité il est envisagé que cette même
action se déroule, en 2018, sur 2 jours. Les dernières
oeuvres de Gil d'Ar, qui se trouvait encore chez
l'ancien secrétaire ont été transférées au domicile de
la trésorière. Les documents nécessaires aux
réservations de salles pour 2017 et 2018 ont été
complétés. Le 24 mars, un film devrait être
projeté dans un lycée et sera suivi d'un débat sur les
droits humains. En septembre le film "bienvenue"
devrait être projeté soit à l'espace Saint Jean de
Melun, soit à l'Astrolabe. Outre diverses autres actions
en préparation, ont été abordées les réunions relatives
à l'Assemblée générale des 17 et 18 juin (déléguée :
Paule, secrétaire du groupe), l'Assemblée régionale du
25 février à Juvisy, la réunion de secteur du 8 avril.
L'adresse postale du groupe à la maison Jean XXIII de
Melun a, également, été abordée.
17/01/2017 - Réunion
mensuelle. La réunion mensuelle de janvier s'est
tenue à Melun et a décidé le transfert de l'association
sur La Rochette. Le groupe participera à une foire aux
livres à l'Escale de Melun le 29 janvier 2017. Une
action de sensibilisation aux droits humains sera menée
au Centre pénitencier avec une présentation d'Amnesty
International et la projection du film "bienvenue" vers
mars ou avril 2017. Le même film sera projeté sur Melun
dans le cadre d'une soirée débat en juin 2017. Deux
membres du groupe ont été désignés pour participer à
l'assemblée générale du secteur qui se tiendra le
25 février et 2 ou 3 membres représenteront le groupe à
l'assemblée générale d'Amnesty France en juin 2017.
02/12/2016 - Opération
signature. A l'occasion de l'action "10 jours pour
signer" lancée par la section française d'Amnesty
International, le groupe 165 de Melun tiendra un stand
devant la médiathèque de Melun (sur l'île Saint Etienne,
rue du château) pour permettre au public de signer une
pétition en faveur des droits humains le 10 décembre
2016.
17/11/2016 - Réunion
mensuelle + Assemblée générale. Les membres du
groupe de Melun se sont réunis, le jeudi 17 novembre
2016 dans le cadre de la réunion mensuelle ainsi que
dans celui de l'assemblée générale locale. Un point a
d'abord été effectué sur la situation financière du
groupe, puis le bureau a été reconduit dans ses
fonctions. Ont été également abordées les différentes
actions en cours dont la projection des films
XENIUS et FUOCOAMMARE, ainsi que des problèmes
administratifs survenus dans le cadre des "10 jours pour
signer" qui nécessitent de nouvelles démarches. Enfin
l'assemblée a été informée que les archives du groupe
ont été reçues de l'ancien secrétaire. Il reste encore
quelques oeuvres de Gil d'Ar à récupérer mais elles
posent un problème de "stockage" que le bureau cherche à
régler.
13/10/2016 - Réunion
mensuelle du groupe. A l'occasion de la réunion
d'octobre 2016, les membres du groupe de Melun ont
effectué un rappel des différentes actions en cours.
Deux membres ont été désignés pour récupérer les
archives et les oeuvres d'art encore détenues au
domicile de l'ancien secrétaire. Le groupe de Melun
participera à la foire aux livres de Fontainebleau les
28, 29, 30 et 31 octobre. L'assemblée générale du groupe
est fixée au 17 novembre, notamment pour
renouveler les fonctions de la secrétaire et de la
trésorière. Enfin un marathon des signatures sera
organisé à la médiathèque le 10 décembre 2016 dans le
cadre de l'action "10 jours pour signer".
Le groupe sera, par ailleurs, présent à Moissy le 19
novembre prochain, dans le cadre de la projection du
film documentaire " fuocoamare par delà Lampedusa
" de Gianfranco Rossi, prix Amnesty International,
prix du jury
œcuménique, Ours d'Or du meilleur film
au festival du cinéma de Berlin,
qui sera également présenté à Fontainebleau le 2 décembre. On y suit
Samuele, 12 ans, qui vit sur l'île de Lampedusa. (Pour
plus d'informations, voir la fiche descriptive et la
bande annonce sur
Allo Ciné).
09/08/2016 - Il y a
25 ans : FOLON. En 1991, Amnesty
International fêtait ses 30 années d'existence et de
lutte en faveur des droits humains. A cette occasion, le
groupe 165 d'Amnesty, à Melun, souhaita marquer tout
particulièrement cet évènement en invitant Jean-Michel
FOLON qui accepta d'exposer une quarantaine de ses
oeuvres au centre culturel de l'Espace Saint Jean de
Melun, avec
une exposition d'Amnesty sur les tortures perpétrées
dans un certain nombre de pays (Corée du Nord, Tchad,
Mauritanie, Afrique du Sud, Amérique latine, Chine...).
Aquarelliste, peintre, graveur, dessinateur,
sculpteur, FOLON (qui nous a quitté en 2005 à l'âge de
71 ans) était mondialement réputé et, par ailleurs, très
engagé en faveur des droits de l'Homme, notamment aux
cotés d'Amnesty International. Il fut accueilli, au
vernissage de l'exposition par les plus hautes autorités
locales, Jacques MARINELLI, maire de Melun, Colette
MELOT, son adjointe, mais aussi par M. le secrétaire
d'État aux affaires étrangères, Alain VIVIEN, Monsieur
Jean-Jacques HYEST, député de Seine et Marne, Jean-Paul
AGUISSON, conseiller général, sans oublier les
membres du groupe de Melun. C'était il y a 25 ans et le
mois de Septembre 2016 nous donne l'occasion de rendre
hommage au combat qu'il a mené en faveur des droits
humains et au soutien indéfectible qu'il a toujours
apporté à Amnesty International.
cliquez
ici
Dossier spécial sur cette exposition "FOLON Notre Terre"
à Melun (biographie de FOLON, documents et photographies
du vernissage)
08/08/2016 - Vacances
de juillet et août 2016. Période des congés oblige,
les membres du groupe 165, comme beaucoup de nos
concitoyens, prennent, eux aussi, quelques jours de
vacances et aucune réunion ne se déroulera en juillet et
août 2016. Nous vous souhaitons à tous un excellent
repos et revenez-vous en pleine forme pour la reprise de
nos actions en faveur des droits humains.
29/06/2016 - Réunion
mensuelle du groupe. Les membres du groupe de Melun
Combs-la-Ville se sont réunit le 23 juin dernier pour
faire le point sur les actions entreprises et sur celles
à venir. L'antenne melunaise accueillait, à cette
occasion, Daniel, militant amnystien du groupe de Marne
la Vallée, présent pour envisager une action commune qui
est mise à l'étude. Antoine, représentant de l'antenne
jeune, était également présent et Jean-Claude lui a fait
part de la décision prise par l'assemblée générale d'AISF
qui a décidé, au congrès de Strasbourg, de limiter la
cotisation des antennes jeunes à un euro symbolique, dès
l'année prochaine. Christian, le WebMaster a présenté le
nouveau site et son orientation et précisé que les
emails du groupe avaient été définitivement supprimées
et remplacées par un formulaire de contact et par une
télécopie. Paul, secrétaire du groupe, donne son accord
pour lui transmettre les messages ainsi reçus.
Jean-Claude a fait le point sur les décisions de
l'assemblée de Strasbourg, où il représentait le groupe
165
de Melun, et sur le renouvellement complet du Conseil
d'administration de la section française. Un pique-nique
avec les militants est envisagé le 22 juillet et un
barbecue en août.
29/06/2016
:
22ème Gala Musique contre l’oubli au Théâtre
des Champs-Élysées.
A l'occasion de la 22ème
édition du Gala « Musique contre l'oubli », l'Orchestre
National de France, sous la direction de Sasha Goetzel,
s'est mobilisé pour Amnesty International le mardi 28 juin
2016. Cet événement,
pour lequel Amnesty International n’avait engagé aucun frais,
fut organisé par une agence spécialisée qui
s’était engagée à reverser à Amnesty International une
redevance garantie. Le 22ème Gala Musique contre l'oubli
s'est tenu au
15 avenue Montaigne - 75008 PARIS.
28/06/2016 -
RAPPORT SUR
LE MEXIQUE : Dans la continuité de la Journée
internationale pour le soutien aux victimes de la
torture, Amnesty International publie un rapport sans
précédent sur les sévices sexuels subis par les femmes
détenues dans les prisons fédérales mexicaines. Les
femmes constituent près de 7 % de la population
carcérale au Mexique. De manière exceptionnelle, les
chercheurs d’Amnesty International ont pu rencontrer 100
d’entre elles et recueillir leurs témoignages. Ces
femmes incarcérées ont toutes subi violences sexuelles
et harcèlements, notamment utilisés comme moyen de
torture par les forces de sécurité pour obtenir aveux et
informations. Leurs histoires décrivent de manière
extrêmement choquante le niveau de souffrance infligé
aux femmes pendant leur incarcération et révèlent que
l’utilisation des violences sexuelles comme moyen de
torture semble être devenue pratique courante au cours
des interrogatoires.
DOSSIER SPÉCIAL MEXIQUE : A l'occasion du rapport publié, le
28 juin 2016, sur les sévices sexuels dont sont victimes
les femmes détenues au Mexique, le groupe 165 de Melun
rassemble, dans un dossier «spécial Mexique»
quelques alertes et communiqués d'Amnesty
International sur ce pays depuis 2015.
Téléchargez le
rapport 2016 :
attention ce rapport est en anglais (document au format pdf)
Téléchargez le rapport 2014 :
La torture et les autres mauvais traitements au Mexique
(document au format pdf) |
Omerta sur les violences sexuelles dans les prisons
mexicaine : Au
cours de nos recherches sur les violences sexuelles
infligées par les forces de l’ordre, les autorités
mexicaines nous ont empêchées d’accéder à des
informations cruciales. Le ministère de
l’Intérieur a ainsi interdit aux délégués de
l’organisation de rencontrer certaines détenues ou
encore de se rendre dans les prisons. Des représentants
de l’armée et de la marine ont en outre refusé de
rencontrer notre délégation.
Lire la suite
(sur A.I. France, communiqué du
28/06//2016).
Au
Mexique, des violences sexuelles pour forcer les femmes
aux "aveux". Afin
de gonfler leurs statistiques dans la lutte contre le
crime organisé, les forces de l’ordre abusent
sexuellement des femmes pour obtenir des « aveux ».
Lire la suite
(sur A.I. France, communiqué du
28/06/2016).
Yecenia Armenta emprisonnée après des aveux obtenus
sous la torture. «Quand ils ont menacé de faire
du mal à mes enfants, à ce moment-là j’ai voulu mourir,
je voulais juste que tout s’arrête. Je voulais juste
qu’ils me tirent une balle dans la tête pour que tout
s’arrête.» En juillet 2012, Yecenia Armenta Graciano
est arrêtée par des policiers en civil à Culiacán, dans
l’État de Sinaloa. Elle est alors détenue et torturée -
notamment asphyxiée, suspendue la tête en bas et
agressée sexuellement. On l’oblige à signer des aveux,
qui sont à la base de son inculpation. Des médecins
légistes indépendants ont depuis examiné Yecenia deux
fois - par des examens conformes aux normes
internationales - et ont à chaque fois conclu qu’elle
avait bien été torturée. Néanmoins, les autorités n’ont
pas tenu compte de leurs conclusions et les aveux de
Yecenia restent un élément à charge essentiel à son
encontre. Ce n'est qu'en 2016 qu'elle sera, enfin,
libérée et acquittée après bien des années d'injustice.
La décision du juge de l’acquitter et de la libérer met
fin à l’injustice subie par cette mère de deux enfants.
Amnesty International menait campagne depuis 2014.
Lire la suite
ici
(sur A.I. France, communiqué du
18/12/2015)
et ici
(sur A.I. France, communiqué du 08/06/2016)
Les
policiers ayant torturé une innocente pour lui faire «
avouer » un crime doivent être déférés à la justice.
L’acquittement d’une jeune femme ayant « avoué » sous la
torture des faits d’extorsion est une nouvelle positive
et attendue de longue date, mais le Mexique doit faire
le nécessaire afin que les auteurs des sévices qu’elle a
subis soient traduits en justice, et afin qu’elle
reçoive des réparations, déclarait Amnesty International
en novembre 2015.
Lire la suite
(sur A.I. France, communique du
10/11/2015).
Crise
des droits humains au Mexique : de plus en plus d'actes
de torture signalés. Le nombre de plaintes pour
torture déposées au niveau fédéral a plus que doublé
entre 2013 et 2014 - passant de 1 165 à 2 403, selon des
données fournies par le parquet fédéral du Mexique. Le
parquet fédéral a déclaré à nos chercheurs ne pas avoir
de « données solides » sur d’éventuelles charges
retenues en 2014 contre des suspects.
Lire la suite
(sur A.I. France, communiqué du
26/10/2015).
Disparition des 43 étudiants au Mexique : l'incompétence
du gouvernement.
Le groupe d’experts a mis en lumière les incohérences de
la version officielle, selon laquelle les étudiants ont
été incinérés dans une décharge, ce qui souligne la
nécessité de réorienter l’enquête.
Lire la suite
(sur A.I. France, communiqué du
7/09/2015).
Une
trentaine de corps découverts dans un nouveau charnier.
Cette dernière découverte en date doit être un
avertissement et inciter les autorités mexicaines à
prendre de véritables mesures afin de clore la liste
sans fin d’atrocités commises à travers le pays. Le
Mexique est en train de perdre le combat contre les
disparitions. Près de 25 000 personnes manquent ainsi à
l’appel depuis 2007.
Lire la suite
(sur A.I. France, communiqué du
3/09/2015).
Torture au Mexique : un rapport critique de l'ONU.
Ce rapport très critique met en évidence une culture de
l'impunité
et de la brutalité contre laquelle nous nous mobilisons
depuis des années. Il n'est pas envisageable que le
président Enrique Peña Nieto puisse plaider l'ignorance
sur cette question. Il doit accepter toutes les
recommandations des Nations unies figurant dans le
rapport du rapporteur spécial et les mettre en œuvre.
Lire la suite
(sur A.I. France, communiqué du
09/03/2015).
La lutte contre la torture reste inefficace au Mexique
: Miriam Lopez ouvre les yeux, découvre par la fenêtre
de sa cellule un drapeau mexicain. Elle se rend alors
compte que les hommes encagoulés qui ont stoppé son
véhicule avant de l’enlever sont en fait des militaires.
Pendant une semaine, elle est rouée de coups, violée,
menacée de mort, sans jamais distinguer le visage de ses
agresseurs. Nous sommes en 2011. Miriam Lopez est
accusée de trafic de drogue suite à une « dénonciation
anonyme ». Condamnée à de la prison ferme, elle est
libérée au bout de six mois, faute de preuves. Depuis,
alors qu’elle se bat pour faire reconnaître son
calvaire, personne n’a été interrogé sur cette affaire.
Les autorités mexicaines, fédérales et locales n’ont
jamais reconnu les faits.
Lire la suite
(sur A.I. France, communiqué du
05/01/2015).
24/06/2016 - Cour
pénale internationale. L'annonce
de la condamnation le 21 juin 2016 de Jean-Pierre Bemba
Gombo par la Cour pénale internationale (CPI)
à 18 ans de prison (moins le temps déjà passé en
détention) marque une
avancée historique pour les victimes de violence
sexuelle dans les conflits. Le verdict suit la
condamnation par la CPI au mois de mars de Jean-Pierre
Bemba, ancien vice-président de la République
démocratique du Congo (RDC),
pour des crimes de guerre et des crimes contre
l'humanité commis en République centrafricaine –
meurtres, viols et pillages notamment. Lire la suite
(sur A.I. France).
21/06/2016 -
Nouvelle présidente d'Amnesty International France : A la suite du congrès de Strasbourg, qui s'est tenu en
juin, Camille Blanc, 32 ans, a été élue au poste de
Présidente d'Amnesty International France, dont elle
était déjà vice-présidente, et elle succède à Geneviève
Garrigos. Le groupe de Melun avait désigné un délégué
pour participer à ce congrès national.
18/06/2016
-
Stand Amnesty International à Melun : Avec l'autorisation de M. le Maire de Melun, le groupe 165
d'Amnesty International Melun a installé un stand devant
la Médiathèque dans le cadre d'une action de
sensibilisation aux réfugiés. Le stand s'est tenu
l'après-midi du samedi 18 juin 2016 au 25, rue du
Château 77000 MELUN (dans l'île Saint Etienne).
14/06/2016 -
Arabie saoudite : militant condamné pour avoir fourni
des information à Amnesty International :
Pour avoir dénoncé des
violations des droits humains en Arabie saoudite et notamment avoir fourni des informations à notre
organisation, Abdulaziz al Shubaily vient d’être
condamné à 8 ans de prison au titre d’une loi
antiterroriste. Lire la suite
(sur A.I. France).
12/06/2016
-
Marche pour les droits humains
: Les groupes Amnystiens de Melun et de Fontainebleau ont
organisé, le dimanche 12 juin 2016, une « marche pour les droits humains» en foret de Fontainebleau,
avec deux parcours respectivement de 6km et 16km.
12/06/2016 -
Le 9 juin 2016, l'O.N.U. a condamné l'interdiction de
l'avortement en Irlande :
Le Comité des droits de
l'homme de l'ONU a rendu une décision sans précédent en
considérant que l’Irlande avait violé les droits
fondamentaux d’une femme.
L’HISTOIRE D’AMANDA MELLET : Dans sa décision, le
Comité des droits de l'homme de l'ONU indique que les
lois irlandaises qui interdisent l'avortement ont violé
les droits d'Amanda Mellet, qui a la double nationalité
irlandaise et américaine, car elles l'ont privée d'une
interruption volontaire de grossesse alors qu'en 2011 on
lui avait appris que le fœtus qu'elle portait présentait
une malformation mortelle. Le Centre pour les droits
reproductifs a déposé une plainte auprès du Comité des
droits de l'homme en novembre 2013 au nom d'Amanda
Mellet.
Le Comité a estimé que les
lois irlandaises sur l'avortement avaient soumis cette
femme à un traitement cruel, inhumain et dégradant et à
une discrimination, en violation des articles 7 et 26 du
Pacte international relatif aux droits civils et
politiques (PIDCP). Il a également noté une violation de
l'article 17 relatif à la protection de la vie privée.
Il a indiqué que l'Irlande avait soumis Amanda Mellet à
« d'intenses souffrances physiques et mentales
». Il a également appelé l’Irlande à mettre en place des
procédures d'interruption de grossesse accessibles en
temps opportun, et à faire le nécessaire pour que les
prestataires de soins de santé soient
en mesure de fournir des informations complètes sur les
services offrant un avortement sûr sans que les
personnes concernées aient à craindre des sanctions
pénales.
Décision historique au niveau mondial : C'est
la première fois qu'un organe international de défense
des droits humains estime qu'un État a violé ses
obligations relatives à ces droits en interdisant et
sanctionnant pénalement l'avortement. Bien que n'étant
pas juridiquement contraignante, cette décision du
Comité des droits de l'homme de l'ONU sur l'Irlande est
tout simplement historique et elle a des conséquences
considérables au niveau mondial. L'interdiction, et par
extension la criminalisation, de l'avortement a été
considérée en soi comme constituant une violation des
droits humains. Elle est discriminatoire et soumet les
femmes à un traitement cruel, inhumain et dégradant.
L'Irlande doit en tenir compte.
Lire le communiqué de l'O.N.U. du 9 juin 2016 (en
anglais)
Téléchargez le rapport (du 09/06/2015) d'Amnesty
International sur l'avortement en Irlande et ses
conséquences
18/05/2016
-
réunion mensuelle
: Le groupe 165 s’est réuni à Melun pour faire le point sur ses
actions et celles à venir.
Les dates ont
pu être arrêtées pour la réservation de la salle
permettant au groupe de se réunir au cours des prochains
mois. Les réunions ont été fixées, pour 2016, les 15
septembre, 13 octobre, 17 novembre, 15 décembre, et,
pour 2017, les 19 janvier, 23 février, 16 mars, 20
avril, 18 mai et 15 juin (sauf modifications
ultérieures). Un projet de nouveau transfert du siège
social a été envisagé et fait l'objet d'une étude de
faisabilité. Il a été rendu compte de la réunion de
secteur qui s'est tenue le 16 avril à Provins. Les
membres du groupe ont été informés d'un projet de la
section française de créer une fondation qui lui
permettrait de recevoir des dons au titre de l'ISF.
Diverses autres questions internes ou sociétales
(prostitution) ont également été abordées au cours de
cette réunion mensuelle, la prochaine étant fixée au 23
juin 2016.
14/04/2016
- réunion
mensuelle
: la réunion mensuelle du
groupe s'est tenue à Melun et a décidé du transfert du
siège social de l'association. Enfin après examen des
actions à venir, un point a été effectué sur les plus
récentes, notamment sur la
journée
du 4 avril, commune avec des membres de la Ligue des
droits de l’Homme, d’Amnesty International et du comité
d’Écuelle qui s’étaient réunis pour une visite du
château de Fontainebleau, un pique-nique et une
randonnée en forêt, avec la participation d’une
trentaine de demandeurs d’asile érythréens.
14/04/2016
- Antenne
Jeunes : ce même jeudi 14
avril de 18h à 20h, salle du C.R.O.U.S. de l'Institut
Universitaire de Technologie (I.U.T.) Sénart
Fontainebleau
à 77 - Lieusaint, l'Antenne Jeunes du groupe 165 de
Melun a organisé la projection du
film "Voyage en barbarie" présentant
le sort effroyable réservé aux réfugiés érythréens
capturés et torturés dans le désert du Sinaï. Le
film a été suivi d'un débat sur l'accueil des réfugiés en
présence de Jean-Claude Samouiller ,délégué national
d'Amnesty International. Ce
documentaire de Cécile Allegra et de
Delphine Deloget, a obtenu le Prix Albert Londres 2015
: Plus
d'infos ici.
02/04/2016 -
Constitution française et déchéance de nationalité
Le
Président de la République a fait savoir, le 30 mars
2016, qu'il renonçait à faire inscrire la déchéance de
nationalité dans la Constitution pour les personnes qui
commettaient des actes terroristes. Cette décision fait
suite à l'impossibilité politique d'obtenir un vote
identique, sur ce point, entre le Sénat et l'Assemblée
Nationale qui devaient se réunir en congrès.
Qu'en
est-il, juridiquement, de la déchéance de nationalité en
droit français ? Elle est déjà prévue par les articles
25 et 25-1 du code civil et le Conseil Constitutionnel a
été amené à juger la conformité de ces deux dispositions
par rapport à notre loi suprême, dans une décision n°
2014-439 QPC rendue le 23 janvier 2015. Le
Conseil constitutionnel a été saisi le 31 octobre 2014
par le Conseil d'État d'une question prioritaire de
constitutionnalité posée par M. Ahmed S. Cette question
était relative à la conformité aux droits et libertés
que la Constitution garantit du 1° de l'article 25 et de
l'article 25-1 du code civil.
L'article 25 du code civil permet de déchoir de la
nationalité française l'individu qui a acquis la qualité
de Français sauf si la déchéance a pour résultat de le
rendre apatride. Au nombre des cas de déchéance, le 1°
de l'article 25 prévoit le cas de l'individu condamné
pour un acte qualifié de crime ou délit constituant une
atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ou pour
un crime ou un délit constituant un acte de terrorisme.
L'article 25-1 dispose que la déchéance n'est encourue
que si les faits reprochés à l'intéressé se sont
produits antérieurement à l'acquisition de la
nationalité française ou dans le délai de dix ans à
compter de la date de cette acquisition. La déchéance ne
peut être prononcée que dans le délai de dix ans à
compter de la perpétration desdits faits. Si les faits
reprochés à l'intéressé sont ceux visés au 1° de
l'article 25, chacun de ces deux délais est porté à
quinze ans.
En 1996, le Conseil constitutionnel avait déjà estimé
conforme à la Constitution l'introduction dans le 1° de
l'article 25 du code civil de la condamnation pour un
crime ou un délit constituant un acte de terrorisme
(décision n° 96-377 DC du 16 juillet 1996). L'article
25-1 ne mentionnait alors pas les faits commis
antérieurement à l'acquisition de la nationalité et ne
comportait pas l'extension des délais à quinze ans. Ces
modifications ont été apportées respectivement par la
loi n° 2003-119 du 26 novembre 2003 et par la loi n°
2006-64 du 23 janvier 2006.
Par la décision n° 2014-439 QPC du 23 janvier 2015, le
Conseil constitutionnel a jugé conformes à la
Constitution les dispositions contestées.
D'une part, le Conseil constitutionnel a, comme en 1996,
relevé que les personnes ayant acquis la nationalité
française et celles auxquelles la nationalité française
a été attribuée à leur naissance sont dans la même
situation, mais que la différence de traitement
instituée dans un but de lutte contre le terrorisme ne
viole pas le principe d'égalité. Il a jugé conformes à
la Constitution la prise en compte des actes commis
antérieurement à l'acquisition de la nationalité
française et l'extension des délais opéré en 2006. Il a
notamment relevé que le délai de quinze ans entre
l'acquisition de la nationalité française et les faits
reprochés ne concerne que des faits d'une gravité toute
particulière.
D'autre part, eu égard à cette gravité toute
particulière que revêtent par nature les actes de
terrorisme, le Conseil a jugé que les dispositions
contestées instituent une sanction ayant le caractère
d'une punition qui n'est pas manifestement hors de
proportion avec la gravité de ces actes et qui ne
méconnaît pas les exigences de l'article 8 de la
Déclaration de 1789.
- Lundi 21 Mars 2016 -
réunion mensuelle du jeudi 17 Mars 2016 -
(résumé) :
Le groupe 165 s’est réuni à Melun pour faire le point sur ses
actions et celles à venir. Il a été reçu par M. Mathiot,
directeur de Cabinet du Maire de Melun, afin de discuter
des interventions futures dans les lieux municipaux. Un membre a été désigné pour participer, au nom du groupe, au
congrès national qui se tiendra les 11 et 12 juin à
Strasbourg. L’Assemblée générale du secteur "sud
Île-de-France" se tiendra, pour sa part, à Provins, le
16 avril prochain et le groupe de Melun y sera
représenté. Le groupe envisage, par ailleurs, de soutenir un
village palestinien occupé par une colonie israélienne
illégale. Il s'agit de Nabi Saleh dont l’accès à l’eau a été coupé et où l’armée a réprimé fortement
les revendications des villageois. La nouvelle antenne « jeunes » de Melun a déjà pu recueillir
200 signatures auprès des étudiants, dans le cadre de
la journée de la femme. D’autres actions sont envisagées
par les étudiants et notamment une projection du film
« Voyage en Barbarie » après accord des responsables
pédagogiques. Le groupe se félicite de l’intérêt de la
jeunesse melunaise pour les Droits Humains. Enfin une foire aux livres est également envisagée par le
groupe de Melun afin de financer ses activités.
- Mardi 08 Mars 2016 -
DOSSIER SPÉCIAL ÉTAT D'URGENCE
- La poursuite de l'état d'urgence est préoccupante dans
une société démocratique, même si l'on peut en
comprendre les raisons - parfaitement louables
- et les objectifs liés à une très légitime lutte
contre le terrorisme. Mais avec un
encadrement législatif insuffisant, et des voies de
recours elles aussi insuffisantes,
«
L’état d’urgence a donné
lieu à des mesures appliquées de façon disproportionnée
et discriminatoire. Les droits de centaines de personnes
ont été violés arbitrairement, leurs vies bouleversées »,
rappelle Amnesty International dans un appel aux
parlementaires du 4 février 2016. Si le Conseil
Constitutionnel a été amené à se prononcer (cf. infra,
notre info du 20/02/2016) sur la légalité d'un
paragraphe (I) de l'article 11 de la loi du 3 avril 1955
relative à l'état d'urgence, en annulant certaines de
ses dispositions et en formulant des réserves juridiques
sur les perquisitions administratives de nuit, il n'en
demeure pas moins que l'application pratique de cet état
d'urgence par les services de sécurité - à la demande
des préfets - pose de
sérieuses interrogations au regard des libertés
fondamentales puisque le juge constitutionnel a
considéré que les perquisitions administratives
n'avaient pas à être placées sous la direction et le
contrôle de l'autorité judiciaire.
Amnesty
International s'inquiète de la situation et rappelle, à
juste titre, (communiqué du 04/02/2016) que :
En temps ordinaire, selon le droit pénal français, la
perquisition d’un domicile ou d’autres locaux est
autorisée par l'autorité judiciaire et vise à recueillir
des éléments concernant des personnes soupçonnées
d’avoir commis un acte criminel.
Sous état d’urgence, les préfets peuvent eux-mêmes
autoriser une perquisition, y compris de nuit en
invoquant des motifs vagues,« s’il existe des raisons
sérieuses de penser que ce lieu est fréquenté par une
personne dont le comportement constitue une menace pour
la sécurité et l'ordre publics». Cette formulation très
vague laisse libre cours à l'interprétation des préfets.
Les ordres de perquisition signés par les préfets
contiennent généralement des formules toutes faites
évoquant la menace pour la sécurité et l’ordre publics
ou bien la possibilité que des armes ou des personnes
soient cachées. Ils contiennent très peu d'informations
précises sur les personnes visées.
La lutte
contre le terrorisme n’atteindra ses objectifs que si
elle est menée dans le respect des droits. L'état
d'urgence a été prolongé, mais il est à espérer que le
législateur veillera à introduire des garde-fous à ce
texte pour qu'il soit utilisé à bon escient et dans le
respect des valeurs de notre pays. Pour
Amnesty International :
«
Ces
mesures exceptionnelles ne doivent pas être prolongées,
ni intégrées dans le droit commun, sans une
justification détaillée, et un contrôle effectif,
sous peine de mettre en place un régime d’exception
permanent, affectant profondément les bases de l’État de
droit en France
».
25/02/2016 -
Le plus ancien prisonnier politique libéré - Résultat de 15 ans de mobilisation militante en sa
faveur, Albert Woodfox a été libéré le 19/02/2016, après
45 ans de prison, dont 43 à l'isolement dans une cellule
de 9m2, pour le meurtre d'un gardien de
prison qu'il a toujours nié et dont il a été innocenté à
trois reprises ces 20 dernières années. (+
d'infos). L’isolement est une forme extrême de
détention qui, sur une aussi longue période, constitue
un acte de torture selon les Nations unies.
24/02/2016 :
Rapport annuel
2015-2016
- Le groupe Amnesty International de Melun met en ligne
le
rapport 2015/2016 que vous pouvez télécharger
gratuitement et explorer pays par pays.
20/02/2016
-
État d'urgence et perquisitions administratives
:
Le Conseil constitutionnel a été amené à se
prononcer sur la légalité du paragraphe I de l'article
11 de la loi n° 55385 du 3 avril 1955 relative à l'État
d'Urgence et a décidé de border certaines dispositions
de ce texte. Il a
d’abord, considéré que les perquisitions administratives
étaient conforme au droit s’agissant de mesures
exceptionnelles et qu'elles n'affectaient pas la liberté
individuelle au sens de l'article 66 de la Constitution,
et qu'elles n'avaient pas à être placées sous la
direction et le contrôle de l'autorité judiciaire.
Ensuite, il a estimé que la décision ordonnant une
perquisition sur le fondement des dispositions
contestées et les conditions de sa mise en œuvre doit
être justifiée et proportionnée aux raisons ayant motivé
la mesure dans les circonstances particulières ayant
conduit à la déclaration de l'état d'urgence. En
particulier, une perquisition se déroulant la nuit dans
un domicile doit être justifiée par l'urgence ou
l'impossibilité de l'effectuer le jour. Mais il a
relevé que le juge administratif était chargé (a
posteriori) de s'assurer que cette mesure, devant être
motivée, était adaptée, nécessaire et
proportionnée à la finalité qu'elle poursuivait, à peine
d’engager la responsabilité de l’État. Enfin s'agissant
des dispositions qui permettent à l'autorité
administrative de copier toutes les données
informatiques auxquelles il aura été possible d'accéder
au cours de la perquisition, le Conseil constitutionnel
a relevé que cette mesure est assimilable à une saisie.
Ni cette saisie ni l'exploitation des données ainsi
collectées ne sont autorisées par un juge, y compris
lorsque l'occupant du lieu perquisitionné ou le
propriétaire des données s'y oppose et alors même
qu'aucune infraction n'est constatée. Au demeurant
peuvent être copiées des données dépourvues de lien avec
la personne dont le comportement constitue une menace
pour la sécurité et l'ordre publics ayant fréquenté le
lieu où a été ordonnée la perquisition. Constatant que
le législateur n'avait pas prévu de garanties légales
propres à assurer une conciliation équilibrée entre
l'objectif de valeur constitutionnelle de sauvegarde de
l'ordre public et le droit au respect de la vie privée,
le Conseil constitutionnel a déclaré contraires à la
Constitution et censuré les dispositions de la seconde
phrase du troisième alinéa du paragraphe I de l'article
11 de la loi du 3 avril 1955 qui permettaient de copier
des données informatiques dans le cadre des
perquisitions administratives.
Lire la
décision intégrale :
n° 2016-536QPC relative aux perquisitions
administratives dans le cadre de l'état d'urgence.
19/02/2016
-
République
démocratique du Congo - Libérez les membres de la Lucha
: Les
membres de la LUCHA sont connus pour leurs modes
d’action non-violentes en faveur des droits des
Congolais, et notamment en faveur d’une meilleure
gouvernance démocratique dans le pays. D’après Amnesty
International, toutes ces personnes ont été
vraisemblablement arrêtées en lien avec la grève
générale organisée par de nombreuses organisations de
la société civile pour protester contre le possible
report des élections générales.
Signez la pétition pour les faire libérer.
18/02/2016
:
réunion mensuelle
- Le groupe de Melun s'est réuni pour faire le point sur
les actions à entreprendre. Nous avons eu le plaisir
d'accueillir quatre jeunes étudiants de Lieusaint qui
sont prêts à participer à certaines actions du groupe.
Il est envisagé, pour le 3 avril 2016, une journée
festive avec les Erythréens d'Écuelle qui prendrait la
forme d'une visite du château de Fontainebleau le matin,
pique-nique ou repas à Samois-sur-Seine et balade en
forêt de Fontainebleau l'après-midi. Enfin le groupe se
prépare à une nouvelle campagne concernant Calais sur le
rapprochement familial, afin de faciliter le passage de
ceux qui ont déjà de la famille en Grande Bretagne. Le
point a également été effectué sur la liste des
adhérents du groupe et un appel à candidature a été
lancé pour désigner un délégué à l'assemblée générale
d'Amnesty France. Enfin un rendez-vous a été sollicité
par la secrétaire du groupe auprès du maire de Provins.
 |
02/02/2016
- Crapules et vacances :
Stop à l'impunité des crimes de guerre ! -
Alors que notre pays se bat au niveau international
contre l’impunité, il permet aux auteurs de
génocide, aux criminels contre l'humanité et aux
criminels de guerre d’en bénéficier sur son sol. La
compétence universelle est un des moyens d’empêcher
cela. Amnesty International se mobilise pour que la
France applique cette compétence universelle. |
30/01/2016
: Amnesty International France a participé à une protestation
contre la prolongation de l'état d'urgence parce qu'il
s'agit d'un régime par nature attentatoire aux libertés
qui ne peut se légitimer que pour un temps restreint.
Amnesty est favorable à une politique de sécurité mais
qui protège nos libertés.
Rendez-vous le 30 janvier
2016 à 14h30, Place de la République à Paris.
[MAJ du 01/02/2015]: entre
5000 et 20.000 personnes (hors province) se sont
déplacées pour cette manifestation parisienne selon les
chiffres de la police ou des organisateurs.
26/01/2016
- Arabie
Saoudite - libérez Waleed Abu al-Khair,
avocat saoudien et défenseur des droits humains.
(photo :
© privé) :
Waleed Abu
al-Khair est un éminent avocat qui a défendu de
nombreuses victimes et militants des droits humains. Son engagement lui
vaut de purger actuellement une peine de 15 ans de
prison, assortie de 15 ans d’interdiction de quitter le
territoire. Il est le premier défenseur des droits
humains à avoir été condamné en vertu d’une nouvelle loi
antiterroriste saoudienne entrée en vigueur début 2014.
Signez la pétition en ligne en cliquant sur ce lien
: campagne
AI - WDALL51215
(transfert sur Amnesty France. Pour revenir sur
notre site, fermez, ensuite, la fenêtre d'A.I. France).
16/01/2016
: manifestation à Paris (Place de la Fontaine aux
Innocents) de 15h00 à 19h00, en faveur des enfants
syriens victimes des bombardements.
12/01/2016 - Tunisie et droit des victimes d'agressions sexuelles
:
La Tunisie a la réputation de montrer
l'exemple en matière de droits des femmes et d'égalité des genres dans la
région, mais cette renommée sonne creux quand on sait que la législation du
pays permet encore aux violeurs de s'en sortir en toute impunité. En
Tunisie, quand on est victime de violences sexuelles, on se retrouve trop
souvent confronté-e à la réprobation, à la honte et aux accusations. Au lieu
d’être protégé-e et soutenu-e, on devient une victime de la loi. Signez
la pétition en ligne en cliquant sur ce lien :
Tunisie - 03/12/2015
(transfert sur le site d'Amnesty France. Pour revenir sur
notre site, fermez, ensuite, la fenêtre).
11/01/2016 : action urgente lancée en
direction de la Jordanie bloquant ses frontières aux
réfugiés syriens.
10/01/2016 : lancement du site Internet version 3.
Amnesty International de Melun lance une nouvelle
version (v3) de son site Internet, plus complet et au
graphisme amélioré, pour présenter le groupe 165, ses
actions et celles de l'ONG au plan national et
international. Un formulaire de contact est désormais
disponible pour permettre aux personnes intéressées de
contacter directement le groupe de Melun.
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