Exemple d'action du groupe
: L'Institut de Droit
et d'Économie de Melun dispose d'un amphithéâtre de 700 places
qui sert, non seulement, pour les cours, mais, également, pour
des manifestation culturelles telles que le
spectacle qui y fut organisé, le 22 novembre 2003, par le groupe
de Melun d'Amnesty International.
Amphithéâtre Reine Blanche : spectacle organisé par le groupe de
Melun
Amnesty International est
une Organisation Non Gouvernementale (ONG) dont la vocation est de
défendre les droits humains fondamentaux et le respect de la
Déclaration Universelle des Droits de l'Homme adoptée par les Nations
Unies le 10 décembre 1948.
Vous avez le
pouvoir d'agir ! Rejoignez Amnesty International
Une ambition qui évolue
En cinquante ans, Amnesty
International a profondément évolué.
Son champ d’intervention,
initialement limité aux prisonniers d’opinion, s’est
étendu à l’ensemble des droits civils, politiques,
économiques, sociaux et culturels inscrits dans la
Déclaration universelle des droits de l’homme (D.U.D.H.),
adoptée à Paris, au Palais de Chaillot, par l'Assemblée
générale des Nations Unies, dans le cadre de la
résolution 217 (III).
En France, la Déclaration
Universelle des Droits de l'Homme n'a pas d'effets
juridiques, en tant que telle, et ne possède que la
valeur, symbolique, d'une proclamation des droits,
contrairement à d'autres textes (sur lesquels les
actions peuvent être juridiquement fondées), tels que :
▪
la « Déclaration des
Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 », de valeur
constitutionnelle ;
▪
la « Convention de
sauvegarde des droits de l'Homme et des libertés
fondamentales », souvent dénommée « Convention
Européenne des Droits de l'Homme » («C.E.D.H.»).
Elle se
réfère à la déclaration universelle, mais elle a été
ratifiée - elle - par la France en 1973. Ce n'est,
toutefois, qu'à
partir de 1981 que les résidents français ont pu être
autorisés à saisir la Cour Européenne des Droits de
l'Homme, par une déclaration solennelle
- au nom de la République Française - du 2
octobre 1981, remise au secrétaire Général du Conseil
de l'Europe, par M. Chandernagor, Ministre délégué
auprès du Ministre des Relations Extérieures ;
▪
le « Pacte
international des droits civils et politiques »,
adopté par l'Assemblée générale des Nations Unies, à New
York, le 16 décembre 1966 (résolution
2200 A) et ratifié par la France le 4 novembre 1980.
Pour ses actions en faveur
des droits humains, Amnesty International s'est vue
décerner le « Prix Nobel de la paix » en 1977.
Elle rassemble aujourd’hui
plus de 3 millions de membres et sympathisants et compte
des sections ou structures dans 72 pays.
Elle est enregistrée
comme organisation internationale à caractère non gouvernemental et
elle entretient des sections dans plus de 50 pays.
Elle est
reconnue comme organisme à voix consultative auprès de l'ONU
(Organisation des Nations Unies) et notamment de son Conseil Économique
et Social, de l'Unesco, du Conseil de l'Europe et de l'Organisation des
États Américains. Elle bénéficie, également, d'un statut d'observateur auprès de
l'Union Africaine.
L'Organisation comprend
un siège International, situé à Londres, ainsi que des sections dans de
nombreux pays, elles mêmes divisées en groupes répartis sur le tout le
territoire national.
Elle est issue, en 1961, de
la volonté d'un avocat britannique - Peter Benenson - qui avait
pris connaissance d'un article concernant deux étudiants portugais,
condamnés à 7 ans de prison pour avoir porté un toast ... à la Liberté !
Il envisage alors une
pression internationale pour mobiliser l'opinion publique en faveur des
prisonniers d'opinion, et publie, le 28 mai 1961, dans la presse un
appel "les prisonniers oubliés" : Amnesty International est née...
Depuis
l'origine, Amnesty International s'applique des principes de stricte
neutralité, d'impartialité et d'indépendance à l'égard des États et ses
interventions couvrent l'ensemble des blocs géopolitiques.
Amnesty International : une organisation impartiale pour
le respect des Droits de l'Homme